« Il faut cultiver notre jardin », disait Candide, autodérision de la part de Voltaire quand aux réflexions des philosophes, souvent loin des besoins de première nécessité : s’alimenter par le travail de la terre. A notre époque, les jardins collectifs partagés se sont donc surtout développés en période de crise, quand le taux de chômage grimpe.
Un jardin collectif partagé regroupe plusieurs producteurs de fruits et légumes, partageant la rente des produits vendus sur les marchés locaux. La majorité des produits sont issus de l’agriculture biologique. Cette agriculture a pour particularité de s’être développée en zone périurbaine, d’où le terme « jardin ». Les parcelles sont souvent cédées par la commune pour dynamiser le commerce local.
Répondant aux problématiques économiques, sociales et écologiques, vous trouverez ici des détails quant au fonctionnement de ces jardins.