Présentes pour la majorité en Amérique Latine, les banques communautaires ont été développées à la base pour dynamiser le commerce à l’échelle locale. Ce sont des banques de proximité qui favorisent l’accès au prêt des populations défavorisées et qui délivrent des microcrédits aux auto-entrepreneurs. Souvent accompagnées d’une monnaie complémentaire appelé « monnaie sociale », elles incitent les membres de la communauté à produire et consommer sur place.

Aujourd’hui, plusieurs modèles de banques communautaires existent. Beaucoup de questions nous viennent à l’esprit. Comment sont-elles gérées ? Quels sont leurs champs d’action ? Comment fonctionne réellement une monnaie sociale ? Ce système est il efficace à l’échelle d’une commune ? Comment le mettre en place ?

Vous trouverez dans cette rubrique une présentation détaillée des institutions rencontrées.

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« Il faut cultiver notre jardin », disait Candide, autodérision de la part de Voltaire quand aux réflexions des philosophes, souvent loin des besoins de première nécessité : s’alimenter par le travail de la terre. A notre époque, les jardins collectifs partagés se sont donc surtout développés en période de crise, quand le taux de chômage grimpe.

Un jardin collectif partagé regroupe plusieurs producteurs de fruits et légumes, partageant la rente des produits vendus sur les marchés locaux. La majorité des produits sont issus de l’agriculture biologique. Cette agriculture a pour particularité de s’être développée en zone périurbaine, d’où le terme « jardin ». Les parcelles sont souvent cédées par la commune pour dynamiser le commerce local.

Répondant aux problématiques économiques, sociales et écologiques, vous trouverez ici des détails quant au fonctionnement de ces jardins.

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On parle d’éducation populaire par opposition à l’enseignement formel, délivré par le programme de l’éducation nationale, mais indéniablement complémentaire. Les mouvements d’éducation populaire sont autogérées par des associations et des bénévoles. C’est une forme d’éducation centrée sur la culture populaire comme la culture ouvrière et paysanne. Elle s’intéresse aussi à la science, aux techniques, au développement personnel par le sport, les activités ludiques et la philosophie.

Ainsi, l’intérêt d’un tel courant est de donner la possibilité aux jeunes et moins jeunes de comprendre leur milieu environnemental, d’adapter leur techniques agricoles afin de tirer une rente du travail de leur terre ou de les accompagner dans la réalisation de tous projets. Au travers des activités, les participants ont l’opportunité de développer leur capacité à s’exprimer en public, écouter et partager leurs idées.

La section suivante s’attachera à présenter les organisations de l’éducation populaire.

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La notion de tourisme solidaire implique le respect des populations locales impliquées. Ainsi, le tourisme solidaire s’oriente autour d’activités, expéditions ou même participation à des projets de développement local, dont tous les revenus reviennent aux populations locales. C’est un engagement commun de la part des acteurs et des participants afin de garantir des actions éthiques, dans le respect du milieu environnemental et des cultures locales.

Vous découvrirez ici les différentes formes de tourisme solidaire, leur potentiel et leurs domaines d’activité.

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Mieux connue du grand public, la coopération internationale regroupe tous les projets pilotés communément par des associations locales, étrangères et des ONG. Elle englobe tous les domaines possibles, du développement de structures locales aux actions de préventions de santé. L’amélioration des conditions de vie des populations locales est toujours l’objectif principal défendu.

Nous verrons dans cette rubrique comment ces organismes travaillent, quelles sont leurs missions et quels sont leurs résultats.

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